Démonte les manipulations de l’opinion de ceux qui veulent une société sans cash. Et les risques privacy.
Compare l’évolution « cash→carte » à « vélo→voiture » (marche vers le progrès et on se plante).
Montre comment l’intérêt pour paiements électroniques vient des obstacles artificiels au cash (moins d’ATM).
Ou que ce qui est à la rigueur acceptable pour la Suède (gouvernement en qui on peut avoir confiance) ne peut pas être généralisé.

D’après la Bundesbank, la matière dans laquelle sont faits les billets évite les saletés.
Surtout que le risque d’infection via les objets est moins élevé que craint au début.